CHAMPIONNAT DU MONDE ASNELLES 2024 Retour sur le Championnat du Monde de Char à Voile 2024 à Asnelles

Le Championnat du Monde de Char à Voile 2024, qui s’est déroulé du 29 juin au 5 juillet en Normandie, aura marqué les esprits avec la participation de plus de 235 pilotes issus de 21 nations différentes. Cet événement a non seulement célébré le char à voile, mais aussi renforcé son statut international !

Bravo à toute l’équipe d’Asnelles 2024 pour l’organisation de cet événement.
8 Classes de compétition (Classe 2, Classe 3, Classe 5, Classe 7, Promo, NSF (New Support Fisly), Standart et Kart à voile) étaient représentées sur les plages d’Asnelles, Ver-sur-Mer, Graye-sur-Mer et Côme Saint-fresnes

Retrouvez tous les classements de ce championnat ICI

Une Célébration du Sport et de la Nature

Le Championnat du Monde de Char à Voile 2024 à Asnelles s’est avéré être bien plus qu’une simple compétition sportive. L’événement Gold Beach 2024 a dépassé les attentes, offrant une célébration vivante des sports de plein air et enrichissant l’expérience des participants et des visiteurs.

Asnelles 2024 ne s’est pas limité qu’à la compétition, elle a mis en avant les sports de nature avec des activités gratuites comme l’apprentissage du BMX, des activités pour les enfants, visites des mémoriaux et de la plongée. C’est une occasion pour les participants et les visiteurs de découvrir ou redécouvrir la richesse des activités extérieures que la région a à offrir.

Un événement stratégique pour le futur du char à voile

François Garnavault, président de l’association Gold Beach 2024 et ancien champion du monde, est à la tête de cet immense projet. Selon lui, le championnat n’est pas seulement une compétition; c’est aussi un pas crucial vers l’intégration du char à voile aux Jeux Olympiques de 2028 à Los Angeles. La discipline, qui n’avait pas été représentée en France depuis douze ans, espère ainsi gagner en visibilité et en soutien international.

Avec des fédérations de char à voile qui se multiplient, comme récemment en Chine ou au Portugal, François Garnavault reste optimiste quant à la possibilité de compléter le quota exigé par le CIO d’ici 2026